Fruitiers, un marché qui n'a pas dit son dernier mot

Ines DROUAULT

02 février 2018

Fruitiers, un marché qui n'a pas dit son dernier mot

Le marché national des fruitiers est en baisse significative depuis 2012, mais avec le regain d’intérêt pour le « produire soi-même », « le manger sain et local », les fruitiers n’ont pas dit leur dernier mot. En s’adaptant (avec des arbres de dimension réduite par exemple) et en garantissant au jardinier un bon résultat, conforme à ses attentes, les producteurs ont de réelles cartes à jouer.

En 2016, 1 million de ménages ont acheté un ou plusieurs arbres fruitiers : 2 en moyenne puisqu’il s’est vendu pratiquement 2 millions d’arbres. Avec un prix moyen supérieur à 21 euros, le marché dépasse les 40 millions d’euros. Il se concentre encore à 37% sur la fin d’année : octobre à décembre. Le bon vieux proverbe « A la Sainte-Catherine, tout bois prend racine » est vivace.

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